Avant, on habitait à Longueuil, où les prix de l'immobilier à revenus est beacoup plus élevé qu'à Sherbrooke où nous sommes maintenant. Alors quand on pensait cash-down, le montant était singulièrement élevé, ce qui nous a motivé à commencer tôt.
On a fait un budget réaliste.De ce budget, l'épargne comptait comme une dépense. On a toujours vu l'épargne comme essentielle, alors au lieu d'avoir un post budgétaire ''sorties et resto'', on avait un poste ''épargne''. Même si certains moins étaient plus durs, on a toujours pu épargné.
À l'été 2012, en deux ans, on avait ramassé 12 000$ en tout. Puis nous sommes déménagés à Sherbrooke et on s'est mariés. De façon vraiment naturelle, on a migré vers une gestion conjointe de nos comptes et de notre épargne. On a eu des prêts et bourses qui ont vraiment aidé! En plus, le loyer était plus bas. Le budget essence aussi, on prenait l'autobus. On a vendu une voiture.
Parfois on a dû piger dans notre fonds d'urgence, mais on essayait de toujours remettre le compte à niveau. On a eu des gros coups de pouce. Une grande-tante m'a dit qu'elle avait un REEE à mon nom. Et donc, les sommes retirées se sont ajoutées à l'épargne. La grand-maman de Nico a décider qu'elle nous aidait avec notre première voiture presque neuve. La famille compte pour beaucoup pour nous!
Il n'y a pas eu de recettes magiques. On a simplement choisi de priorisé l'épargne. On ne peut pas cacher qu'on a eu de l'aide. Les parents à Nico ont beaucoup aidé au début, malgré le fait que Nico travaillaient, ce qui a permis à Nico d'épargner beaucoup.
En janvier dernier, nous avions plus de 20 000$ qui dormait dans nos comptes. On a pu évaluer nos options en terme immobilier.